La couture fonctionne là comme une reprise, une répétition et un raccommodage. Elle répare les blessures. Reprendre, c’est également prendre à nouveau possession des lieux, marquer le territoire de la peinture et de la représentation paysagère pour y ajouter de nouvelles perspectives : celle du temps en premier lieu.
Les fragments s’articulent comme des flashs de perception artificiellement isolés en même temps qu’ils appartiennent à une seule pièce. Ils tentent ainsi d’introduire le concept de (...)