De très vieux draps de lin, des torchons, de nombreux boutons, des cordons et autres ficelles, des bobines de coton jusqu’aux grandes boites d’épingles enrichissent 1’atelier, et, comme les trois machines à coudre, m’ont été cédés ou légués. Ils constituent un patrimoine précieux parce que riche d’un passe qui m’est cher ; ils alimentent un fonds pour la plasticienne, un savoir, et il est possible d’y puiser certains éléments pour avancer et ne pas perdre le fil. Ils habitaient le lieu avant moi. Comme (...)